Lauréats par région

Les Nations unies reconnaissent que les peuples indigènes représentent moins de 5 % de la population et pourtant nous gérons plus de 80 % de la biodiversité mondiale. Face au changement climatique, à l'effondrement de l'environnement et aux pandémies, la restauration des espèces autochtones est essentielle pour construire un avenir résilient qui puisse résister et prospérer alors que les changements climatiques continuent d’avoir des conséquences désastreuses. Associé à des actions de sensibilisation, des campagnes et un programme d'études indigènes, l’aventure Run4Salmon a, au cours des quatre dernières années, engagé des fonctionnaires, des avocats, des défenseurs et des gens ordinaires dans le voyage de 300 miles que fait le saumon quinnat, une espèce menacée, le long des eaux du plus grand bassin hydrographique de Californie, pour inspirer, éduquer et engager les gens à restaurer cette espèce clé menacée, essentielle à la santé des terres et des eaux californiennes. Alors que nous nous efforçons de rendre accessible à tous ce voyage qui a changé la vie à l'époque de la COVID-19, nous nous efforçons de rendre cette visite accessible à tous, où que ce soit, grâce à une vidéo de réalité virtuelle.

À 26 ans, j’ai appris que l’Église catholique était l’un des plus grands propriétaires terriens au monde (plus de 177 millions d’acres), mais elle avait rarement fait l’inventaire des terres. Cela m'a amené à fonder GoodLands, où nous travaillons à amener la conservation catholique à l'échelle et à l'impact des soins de santé et de l'éducation catholiques, en tant que plus grand réseau mondial du genre. Nous apportons la technologie la plus puissante pour la planification et la durabilité de la propriété à grande échelle - les systèmes d’information géographique - à l’Église catholique - l’organisation mondiale qui compte le plus de terres et le plus de personnes. Notre objectif est de faire de l’Église catholique un chef de file dans la lutte contre le changement climatique ainsi que des questions sociales connexes telles que la migration et le trafic humain. Notre travail peut servir de modèle à d’autres acteurs non étatiques répartis dans le monde, y compris pour d’autres religions, le Commonwealth britannique, les Nations Unies et des entités méta-nationales. J'ai fondé GoodLands en 2015 pour aider les communautés religieuses à gérer leurs biens de manière à promouvoir le développement durable - prendre soin de la terre et des pauvres.

Nous construisons un réseau mondial de musiciens et de jeunes volontaires pour dispenser une éducation environnementale au moyen du pouvoir catalyseur de la musique. La neuroscience est claire: la musique active plus de régions du cerveau que même le langage. Ce pouvoir peut et doit être utilisé pour le bien de la terre et de ses habitants, en particulier en période de grande division comme celle que nous vivons. Nous favorisons une communauté mondiale dans laquelle le pouvoir mémorable, émotionnel et unificateur de la musique contribue à l’équilibre entre l’humanité, la nature et la société. Nous produisons des supports, développons des ressources pour la classe et animons des événements et des ateliers en direct. Notre contenu parvient à des millions de personnes à la radio, à la télévision, en ligne et en face à face, dans des langues et des genres pertinents au niveau national. Notre musique est composée de manière à transmettre un message tout en retenant l'attention et en suscitant une réponse émotionnelle, sans prêcher uniquement à la chorale. Pour soutenir ce mouvement mondial au niveau national, nous identifions des leaders de la jeunesse talentueux et leur donnons des structures, des ressources et des stratégies pour mener des révolutions éco-musicales. Ils entretiennent des relations avec les artistes et les diffuseurs, proposent des projections et des activations vidéo à l’énergie solaire, telles que la plantation d’arbres et le nettoyage des déchets, produisent des chansons et des vidéos locales.

The Circular Economy Club est un réseau international à but non lucratif de plus de 3 500 professionnels et organisations de l'économie circulaire de plus de 100 pays. Notre vision est de vivre à une époque où toutes les villes fonctionnent selon un modèle circulaire, marquant la fin d'une ère de gaspillage. La mission du club est d’apporter l’économie circulaire dans les villes d’Accra à Delhi, de Quito à Amsterdam - en construisant des réseaux locaux solides pour concevoir et mettre en œuvre des stratégies locales circulaires, intégrer l’économie circulaire au système éducatif et aider les solutions circulaires à l’échelle. Le club est géré bénévolement par une équipe de 37 volontaires du monde entier et soutenu par 50 mentors, qui ont donné 130 heures de mentorat gratuit aux start-ups et aux étudiants, ainsi que 200 organisateurs qui réunissent volontairement des personnes pour concevoir et mettre en œuvre des stratégies locales d'économie circulaire. dans leurs villes. L’économie circulaire est une alternative à l’économie linéaire, où tous les produits et services sont conçus dans l’intention d’éviter le gaspillage et où les matériaux utilisés retournent dans le système en étant revendus, partagés, remis à neuf ou recyclés. Lorsque les organisateurs s'inscrivent au programme, ils reçoivent des kits d'outils et du matériel de communication, échangent des connaissances avec le reste des organisateurs du monde entier et sont en mesure de coordonner leurs communautés locales.

L'extraction et la consommation de carbone fossile pour notre quotidien représentent plus de 6 milliards de tonnes d'émissions de dioxyde de carbone chaque année, entraînant le changement climatique. En ne considérant pas les combustibles fossiles et les matières premières à travers une lentille «d'économie circulaire», les entreprises «gaspillent» environ 50 milliards de dollars US chaque année en profit potentiel de ce qui pourrait être fabriqué avec du dioxyde de carbone résiduel tel que le méthanol. HI-Light est une technologie de réacteur chimique thermo-solaire permettant de convertir le dioxyde de carbone en combustibles tels que le syngas ou le méthanol. La technologie cherche à réaliser une sorte de photosynthèse artificielle dans une usine ou une centrale électrique - combinant la lumière du soleil, le dioxyde de carbone et les produits chimiques pour produire un carburant renouvelable par catalyse. Notre technique rend la capture et la conversion du dioxyde de carbone plus économiques. La conversion actuelle en poids du dioxyde de carbone en produits chimiques utiles représente un très faible pourcentage des près de deux milliards de tonnes de dioxyde de carbone émises par les centrales électriques des États-Unis seulement. La technologie de «combustion inverse» de HI-Light convertit le dioxyde de carbone en hydrocarbures de grande valeur, augmentant ainsi sa valeur en tant que marchandise. La conception unique de notre réacteur réside dans une distribution de lumière optimisée associée à un chauffage opto-thermique permettant d'atteindre des températures élevées où les vitesses de réaction sont plus élevées.