La série de rapports annuels sur l'état des finances pour la nature suit les flux financiers destinés aux solutions basées sur la nature (NbS) et les compare aux financements nécessaires pour maximiser leur potentiel afin de relever les défis liés au climat, à la biodiversité et à la dégradation de l'environnement.
Pour la première fois, cette édition évalue l'ampleur des flux financiers négatifs pour la nature provenant de sources publiques et privées à l'échelle mondiale. Les solutions fondées sur la nature (SfN) offrent des opportunités d'investissement cruciales, car elles sont rentables et apportent de multiples avantages.
Le rapport se concentre sur les niveaux actuels de mise en œuvre et de financement des SfN, ainsi que sur le montant des financements nécessaires pour atteindre les objectifs spécifiques de Rio : limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C, protéger 30 % des terres et des océans d'ici 2030 (objectif 30x30), et atteindre la neutralité en matière de dégradation des terres (LDN) d'ici 2030. Le déficit de financement des SfN représente l'écart entre les flux financiers actuels et les besoins financiers pour atteindre les objectifs du scénario aligné sur Rio.
For the first time, the 2023 edition of the State of Finance for Nature report estimates the scale of nature-negative finance flows from both public and private sector sources globally.
Close to $7 trillion is invested globally each year in activities that have a direct negative impact on nature from both public and private sector sources - equivalent to roughly 7 per cent of global Gross Domestic Product (GDP).
UNEP is launching it's third edition of the State of Finance for Nature Report: The Big Nature Turnaround Repurposing $7 trillion financing nature’s loss.
Seules 12% des villes disposent de mesures de la qualité de l'air conformes aux normes de l'OMS
