Le rapport de la série "Surveillance du refroidissement mondial", démontre le potentiel et les voies à suivre pour parvenir à des émissions proches de zéro dans le secteur de la réfrigération. À l'aide d'un modèle créé spécifiquement pour ce rapport, il présente les voies à suivre pour parvenir à des émissions proches de zéro dans les principaux secteurs de la réfrigération et lance un appel à l'action pour que les pays poursuivent les politiques et les stratégies qui ont le plus d'impact sur la réduction des émissions liées à la réfrigération et la promotion d'une réfrigération durable pour tous.
Le rapport de la Surveillance du refroidissement mondial, intitulé "Garde la tête froide : Comment répondre à la demande de refroidissement tout en réduisant les émissions, publié la Cool Coalition (Coalition pour le froid), dirigée par le Programme des Nations unies pour l'environnement, présente des mesures de refroidissement durable dans trois domaines : le refroidissement passif, des normes d'efficacité énergétique plus élevées et une réduction progressive plus rapide des réfrigérants qui réchauffent le climat. Le rapport est publié à l'appui du Global Cooling Pledge, une initiative conjointe des Émirats arabes unis, hôtes de la COP28, et de la Cool Coalition.
Si les mesures mises en avant dans le rapport Surveillance mondiale du refroidissement 2023 du PNUE : Garder la tête froide sont mises en œuvre de manière adéquate, nous pouvons maintenir la chaleur dans un monde qui se réchauffe.
Selon un nouveau rapport publié à l'occasion des négociations sur le climat de la COP28 à Dubai, l'adoption de mesures clés visant à réduire la consommation d'énergie des équipements de refroidissement permettrait de réduire d'au moins 60 % les émissions sectorielles prévues pour 2050, d'assurer un accès universel à des systèmes de refroidissement vitaux, de soulager les réseaux…
Ce que nous recherchons lors de ces négociations sur le climat, ce sont des moyens de réduire les émissions de gaz à effet de serre conformément aux trajectoires de 1,5 °C et de 2 °C de l'accord de Paris.
Seules 12% des villes disposent de mesures de la qualité de l'air conformes aux normes de l'OMS
